L'appui potentiel qu'il apportait désormais à l'Union européenne et à la BCE pour leur permettre d'échapper au démantèlement pays par pays de la zone euro systématiquement entrepris par eux ne pouvait qu'agacer.
Nous n'approuvons certes pas la politique de redressement au forceps conseillé par le FMI et mis en oeuvre par l'Union. Celle-ci pourrait faire beaucoup plus (Voir notre article précédent sur ce blog Vive les Banques, à bas les Grecs) mais cette politique valait mieux que la démission totale non seulement devant les marchés mais face à l'impérialisme du dollar qui aurait résulté d'un laissez-faire généralisé.
Cependant les Etats-Unis avaient bien plus encore à craindre du FMI. Beaucoup d'experts (voir note 1) pensent qu'une méga-crise dont la source ne sera pas européenne ni chinoise mais strictement américaine se prépare ces jours-ci. Le FMI aurait eu l'intention de la dénoncer clairement, selon les bruits qui courent. Barack Obama en aurait été la première victime. C'en était trop. Dans cette crise, les Etats-Unis auront besoin d'un FMI redevenu aux ordres. Washington devait agir, avec les méthodes musclées que partagent tous les grands Etats menacés dans leur avenir.
Quoi de mieux que frapper le FMI à la tête. La réputation de DSK était ainsi faite qu'il suffisait d'une petite manipulation bien montée pour l'abattre, sans même que la victime y mette du sien, c'est-à-dire sans même attendre que DSK adopte le comportement criminel qui lui est reproché. On ne prête qu'aux riches.
Précisons sur ce point que selon les « libertins », qui savent en général ce dont ils parlent, le profil d'un violeur n'est absolument pas celui d'un séducteur, même compulsif. On ne voit vraiment pas en quoi la libido de DSK avait besoin de violenter en 5 minutes une femme de chambre sur le rebord d'une baignoire pour s'épanouir.
Nous serons peut-être conduits à changer d'hypothèse sur tout cela dans les jours qui viennent, mais pour le moment celle qui est résumée ici nous paraît la plus explicative.
1)Voir par exemple le bulletin du GEAB. Que l'on ne voit pas là parole d'évangile, mais le diagnostic est bon à lire quand même.
* Le GEAB-LEAP dispose aussi d'un bulletin en espagnol.
Nous n'approuvons certes pas la politique de redressement au forceps conseillé par le FMI et mis en oeuvre par l'Union. Celle-ci pourrait faire beaucoup plus (Voir notre article précédent sur ce blog Vive les Banques, à bas les Grecs) mais cette politique valait mieux que la démission totale non seulement devant les marchés mais face à l'impérialisme du dollar qui aurait résulté d'un laissez-faire généralisé.
Cependant les Etats-Unis avaient bien plus encore à craindre du FMI. Beaucoup d'experts (voir note 1) pensent qu'une méga-crise dont la source ne sera pas européenne ni chinoise mais strictement américaine se prépare ces jours-ci. Le FMI aurait eu l'intention de la dénoncer clairement, selon les bruits qui courent. Barack Obama en aurait été la première victime. C'en était trop. Dans cette crise, les Etats-Unis auront besoin d'un FMI redevenu aux ordres. Washington devait agir, avec les méthodes musclées que partagent tous les grands Etats menacés dans leur avenir.
Quoi de mieux que frapper le FMI à la tête. La réputation de DSK était ainsi faite qu'il suffisait d'une petite manipulation bien montée pour l'abattre, sans même que la victime y mette du sien, c'est-à-dire sans même attendre que DSK adopte le comportement criminel qui lui est reproché. On ne prête qu'aux riches.
Précisons sur ce point que selon les « libertins », qui savent en général ce dont ils parlent, le profil d'un violeur n'est absolument pas celui d'un séducteur, même compulsif. On ne voit vraiment pas en quoi la libido de DSK avait besoin de violenter en 5 minutes une femme de chambre sur le rebord d'une baignoire pour s'épanouir.
Nous serons peut-être conduits à changer d'hypothèse sur tout cela dans les jours qui viennent, mais pour le moment celle qui est résumée ici nous paraît la plus explicative.
1)Voir par exemple le bulletin du GEAB. Que l'on ne voit pas là parole d'évangile, mais le diagnostic est bon à lire quand même.
* Le GEAB-LEAP dispose aussi d'un bulletin en espagnol.